Une décision de justice logique et cohérente

Une décision de justice logique et cohérente

Fondée sur l’occupation anormale de bâtiments et de terres depuis le jugement d’expropriation et le versement des indemnités, la décision rendue ce jour était attendue car en cohérence avec notre Etat de droit. Il faut rappeler que les conditions de départ sont très favorables et que celles-ci ont été acceptées à l’amiable par la grande majorité des personnes concernées.

Contrairement aux affirmations des opposants, les recours, dont la levée conditionnait le début des travaux, sont ceux déposés à la date du 4 mai 2012 et il y a bien longtemps que ceux-ci ont été jugés et rejetés. La stratégie des opposants étant de bloquer toute avancée dans ce dossier, ils continueront indéfiniment à déposer des recours qui, bien évidemment, ne concernent plus les engagements du chef de l’ETAT.

Nous attendons désormais avec impatience le début des travaux, notamment ceux permettant l’accès au site proprement dit de l’aéroport, qui concrétisera encore plus les engagements pris auprès des dizaines de milliers d’habitants de l’agglomération qui subissent les nuisances sonores et environnementales.

Dominique BOSCHET

Président de l’ACSAN

Comment la parole du Président de la République est manipulée par les opposants au transfert de l’aéroport

Comment la parole du Président de la République est manipulée

par les opposants au transfert de l’aéroport

À de nombreuses reprises les opposants font état dans les médias de la parole donnée par le Président de la République. Ils affirment que le Président s’est engagé à ne pas commencer les travaux de l’aéroport tant que tous les recours ne sont pas levés.

De quels recours parle-t-on ? A quelle réalité s’applique ces propos?

En 2012, quelques opposants ont entamé une grève de la faim. Pour des raisons humanitaires, un accord a été trouvé pour que cesse cette grève de la faim. Suite aux déclarations du Président de la République dans les médias, une réunion s’est tenue avec l’ensemble des opposants. Le relevé de décisions à l’issue de cette réunion précisait : « Ils souhaitent qu’il n’y ait pas d’expulsion avant la fin des recours déposés à la date du 4 mai devant le Conseil d’Etat, la Cour de cassation et le conseil constitutionnel.

Cette déclaration concerne les exploitants agricoles et les habitants de la zone de la DUP, installés sur la zone avant la déclaration d’utilité publique, ayant refusé à ce jour les procédures amiables. »

Il y a bien longtemps que ces recours ont été jugés et rejetés. Par souci de légalité, le gouvernement a même attendu bien après le rejet des derniers recours relatifs à la loi sur l’eau et à la protection des espèces protégées.

La stratégie des opposants étant de bloquer toute avancée dans ce dossier, ils continueront indéfiniment à déposer des recours qui, bien évidemment, ne concernent plus les engagements du chef de l’ETAT.

Les opposants se moquent éperdument des nuisances subies par des dizaines de milliers d’habitants de l’agglomération en introduisant sans cesse des procédures dilatoires.

Dominique BOSCHET

Président de l’ACSAN