Les habitants de l’agglomération nantaise dénoncent la désinformation organisée par les zadistes et les opposants au transfert

Aéroport de Nantes Atlantique : les habitants de l’agglomération nantaise dénoncent la désinformation organisée par les zadistes et les opposants au transfert.

Au moment où les « zadistes », qui occupent illégalement le site du projet d’aéroport, communiquent sur la possibilité d’en faire le lieu d’un développement solidaire « idyllique » s’exonérant de toutes les règles juridiques et économiques de notre pays et où les opposants au projet de transfert de l’aéroport de Nantes Atlantique poursuivent leur opération de désinformation en cherchant à faire croire que l’activité aéroportuaire pourrait se poursuivre sur le site actuel avec une aérogare reconfigurée, l’ACSAN réaffirme avec force son soutien au transfert de l’aéroport de Nantes Atlantique à Notre Dame des Landes..

Pour l’ACSAN, toute hypothèse de maintien en service de Nantes Atlantique, en contradiction avec la déclaration d’utilité publique de son transfert, ne saurait cacher un fait incontournable : la piste de Nantes Atlantique impose pour les avions le survol du lac de Grand Lieu et du cœur de l’agglomération nantaise.

Non, les habitants de Nantes, de Rezé, de Bouguenais et de Saint-Aignan de Grand Lieu ne peuvent accepter de subir un nombre croissant de passages d’avions au-dessus de leur tête.

Le trafic prévu en 2030 de 6 millions de passagers impliquerait près de 70.000 mouvements d’avions commerciaux, soit un survol à basse altitude de l’ordre de 100 avions en moyenne par jour.

Compte-tenu de cette évolution, ce serait l’arrêt du développement de communes ou secteurs comme St-Aignan de Grand Lieu, Bouguenais-les-Couëts, Trentemoult ou l’Ile de Nantes si l’activité était maintenue sur le site de Bouguenais.

Le transfert est la seule réponse cohérente, attendue par les habitants de l’agglomération nantaise qui subissent depuis trop longtemps les nuisances sonores liées au survol en basse altitude de notre ville et les risques de crash d’un avion de ligne, qui sont plus importants au décollage et à l’atterrissage.

La décision à venir du tribunal administratif sur le volet environnemental du projet devrait mettre un terme aux doutes que font planer les opposants sur la légalité de ce projet de transfert, et enfin permettre à l’Etat de lancer les travaux du transfert, en faisant appliquer les règles de l’Etat de droit.

La décision du tribunal administratif devrait mettre un terme aux doutes que font planer les opposants à ce transfert

L’ACSAN souhaite ici réaffirmer avec force son soutien au transfert de l’aéroport de Nantes Atlantique à Notre Dame des Landes. La décision à venir du tribunal administratif devrait mettre un terme aux doutes que font planer les opposants à ce transfert sur le bienfondé du projet et le respect de la Loi sur l’Eau et le transfert des Espèces naturelles protégées.

Une fois de plus, l’opposition hétéroclite au projet de transfert de l’aéroport de Nantes Atlantique vers Notre Dame des Landes a montré la semaine dernière ses contradictions.

Les « zadistes », groupe incontrôlable installé illégalement sur le site de la future plateforme, ont agressé des scientifiques et démontré, comme cela a été si bien présenté dans la récente « enquête exclusive » de M6 (« Ecolos, extrémistes ou marginaux : qui sont ces « zadistes » qui défient l’Etat ? »), qu’ils ne savent que saccager, menacer et profiter d’un système qu’ils condamnent.

Pour ceux qui en doutent, cette enquête est accessible en replay. C’est édifiant !

Nous en avons assez de payer pour leurs dégradations et tout récemment encore celles du Palais de Justice.

Que proposent les opposants soi-disant respectueux du droit national ? Maintenir l’activité aéroportuaire sur Nantes Atlantique en contestant les expertises du seul expert national compétent, la Direction Générale de l’aviation civile.

Quels sont leurs arguments ?

Un trafic passager trop optimiste. Il est de 4,15 millions de passagers en 2014, bien supérieur aux hypothèses les plus optimistes du dossier de DUP qui prévoyaient 4 millions de passagers en 2017 !

Maintenant, c’est le nombre d’avions qui est contesté, alors que l’emport moyen de 100 passagers par avion, correspond au chiffre constaté sur la quasi-totalité des métropoles régionales européennes du même type.

Pour l’ACSAN, toute hypothèse de maintien en service de Nantes Atlantique, en contradiction avec la déclaration d’utilité publique de son transfert, ne saurait cacher un fait incontournable : la piste de Nantes Atlantique impose pour les avions le survol du lac de Grand Lieu et du cœur de l’agglomération nantaise.

Non, les habitants de l’agglomération nantaise ne peuvent accepter de subir un nombre croissant de passages d’avions au-dessus de leurs quartiers, le trafic prévu en 2030 de 6 millions de passagers avec près de 70.000 mouvements d’avions, soit l’atterrissage à basse altitude de plus de 100 avions en moyenne par jour. Compte-tenu de cette évolution, ce serait l’arrêt du développement de communes ou secteurs comme Saint-Aignan de Grand Lieu, Bouguenais-les-Couets, Trentemoult ou l’Ile de Nantes si la piste était maintenue à Bouguenais.

Le transfert est la seule réponse cohérente, attendue par les habitants de l’agglomération nantaise qui subissent depuis trop longtemps les nuisances sonores liées au survol en basse altitude de notre ville et les risques de crash d’un avion de ligne, qui sont plus importants au décollage et à l’atterrissage.

La mise en œuvre de ce projet est donc incontournable dans l’intérêt des habitants de l’agglomération, tant du point de vue de la qualité de vie que d’un développement urbain cohérent et harmonieux.

Le Tribunal Administratif confirme le bienfondé du projet de transfert de l’aéroport de Nantes dans le respect de la Loi sur l’Eau et les Espèces naturelles

L’ACSAN se réjouit de la décision prise aujourd’hui par le Tribunal Administratif qui confirme le bienfondé du projet de transfert de l’aéroport de Nantes dans le respect de la Loi sur l’Eau et les Espèces naturelles. Cette décision va désormais permettre à l’Etat, maître d’œuvre soucieux du respect des procédures démocratiques, d’engager les travaux de l’Aéroport du Grand Ouest.

Cette décision met un terme aux remises en cause, depuis plus de 7 ans par les opposants, de la légalité de ce projet. Faut-il rappeler que ce projet, déclaré d’utilité publique en 2008, a subi de nombreux recours, pour retarder le début des travaux, tous rejetés sans exception.

Cela va enfin permettre de donner la seule réponse cohérente, attendue par les habitants de l’agglomération nantaise qui subissent depuis trop longtemps les nuisances sonores liées au survol en basse altitude de notre ville et les risques de crash d’un avion de ligne, qui sont plus importants au décollage et à l’atterrissage.

Le succès de ce mode de transport qui a largement dépassé les prévisions (4,15 millions de passagers en 2014, +57% depuis 2009) conduit à une augmentation du nombre de survols, malgré un emport qui a évolué, et donc des nuisances sonores, objectivement traduites dans le Plan d’Exposition au Bruit qui touche près de 42000 personnes.

Compte-tenu de cette évolution, ce serait l’arrêt du développement de communes ou secteurs comme St Aignan de Grand Lieu, Bouguenais-les-Couets, Rezé les Isles ou l’Ile de Nantes si la piste était maintenue à Bouguenais.

La mise en œuvre de ce projet est donc incontournable dans l’intérêt des habitants de l’agglomération, tant du point de vue de la qualité de vie que d’un développement urbain cohérent et harmonieux.

C’est également une nécessité plus largement pour le grand ouest pour à la fois lui donner une structure permettant de rompre avec l’isolement de notre région en Europe mais aussi pour favoriser son développement économique.

RAS LE BOL DES CASSEURS

Communiqué de presse

Nantes, le 28 octobre 2014

RAS LE BOL DES CASSEURS

A l’occasion d’une manifestation respectable en raison de la mort très regrettable d’un jeune manifestant à Sivens dans le Tarn, les enragés de la ZAD ont à nouveau frappé et cassé dans le centre ville de Nantes.

Ces casseurs masqués qui occupent illégalement le site du futur aéroport n’ont aucune inquiétude. Leur argument c’est la violence et le saccage.

QUI subit les conséquences de leurs actes irresponsables : les nantaises et les nantais et plus généralement les habitants de l’agglomération nantaise. Nous les subissons par la vision des bâtiments dégradés mais aussi par la contribution financière que nous devrons tous apporter pour réparer notre ville après leur passage.

Nous ne pouvons accepter de subir ces exactions et il est nécessaire d’en condamner les auteurs mais aussi d’évacuer le site de Notre Dame des Landes qui constitue leur base d’organisation.

Dominique BOSCHET

Président de l’ACSAN

Aéroport et nuisances sonores

Communiqué de presse

Nantes, le 20 octobre 2014

Aéroport et nuisances sonores

L’ACSAN, Association Contre le Survol de l’Agglomération Nantaise, fait désormais partie de la commission consultative de l’environnement de l’aéroport de Nantes Atlantique.

Cela confirme la reconnaissance de son action en faveur des habitants de l’agglomération qui subissent depuis de trop nombreuses années les nuisances sonores.

Elle aura à cœur de défendre les intérêts de ses habitants au sein de cette instance. Pour cela, n’hésitez pas à contacter l’ACSAN et à transmettre vos réclamations au service de l’environnement de Nantes Atlantique.

Bien évidemment les mesures envisagées ne permettent que d’atténuer les effets de ces nuisances et l’ACSAN soutient totalement le transfert de l’aéroport à Notre Dame des Landes, seule solution pour supprimer radicalement ces nuisances et permettre le développement économique du Grand Ouest, condition indispensable à la création d’emplois dans nos régions.

Dominique BOSCHET

Président de l’ACSAN

Réclamations Nantes Atlantique : environnement@nantes.aeroport.fr

L’aéroport du Grand Ouest avec RAISON

Communiqué de presse

Nantes, le 23 février 2014

L’aéroport du Grand Ouest avec RAISON

Ils ont tenu parole les enragés de la ZAD qui menacent, saccagent et détruisent, ce sont leurs arguments. Ils l’avaient annoncé, lors d’interviews dans lesquels ils annonçaient une stratégie de « sabotage ». Cela dure depuis de nombreux mois contre les entreprises qui travaillent sur ce site. L’apothéose a eu lieu ce samedi lors de la manifestation à Nantes qui a mis à sac de nombreux quartiers.

Réagissons fortement contre ces menaces et ces pressions : CA SUFFIT !

Il est grand temps d’évacuer celles et ceux qui occupent illégalement le site du futur aéroport et condamner les responsables de ces exactions. Ce n’est pas avec de tels opposants qu’un dialogue est possible malgré toutes les tentatives du gouvernement pour aller dans cette voie.

QUE VOULONS-NOUS?

PLUS D’EMPLOIS ! Pour cela il faut encourager tout ce qui peut contribuer au développement économique. L’aéroport du Grand Ouest est une réponse pour notre région, et les chefs d’entreprise ne s’y trompent pas et soutiennent avec conviction ce projet.

Vivre dans un pays de DROIT et le respect de la DEMOCRATIE. Le transfert de l’aéroport a respecté la longue procédure démocratique, tous les recours des opposants ont été rejetés tant par les instances juridiques françaises, qu’européennes, les élections successives dans notre région n’ont fait que conforter les projets en faveur de ce transfert. Comment comprendre que certains, comme José Bové, exigent le respect strict de ce principe, quand il s’agit de l’écotaxe, et combattent celui-ci pour le transfert de l’aéroport

Protéger notre environnement et lutter contre les gaz à effets de serre. Le transfert de l’aéroport est de ce point de vue un formidable moyen de lutte contre l’étalement urbain, principal responsable de ce phénomène. En effet, il permettra de rendre constructible une zone importante incluse dans l’agglomération et limitera de ce fait l’exode de population. L’étalement urbain est également mangeur de terres agricoles sur une échelle sans commune mesure avec l’implantation du futur aéroport. De plus des destinations actuellement disponibles qu’à partir de Paris pourront se développer sur cet aéroport du Grand Ouest et limiter ainsi les déplacements pour s’y rendre.

Conserver un équilibre entre zones urbaines, zones agricoles et zones protégées. Nous y sommes tous sensibles. Les Schémas de Cohérence Territoriales y veillent et le projet prend en compte cette dimension. La mise à disposition de terres agricoles pour compenser celles réquisitionnées pour l’aéroport, la protection de sites Natura 2000, et notamment celui du lac de Grand Lieu, et la création d’un périmètre d’étude des espaces agricoles et naturels périurbains de 17000 ha, protégés par la loi, sont quelques unes des nombreuses mesures prises dans cet esprit. La protection de la faune et de la flore par le déplacement d’espèces sur des zones réaménagées, malgré l’opposition et la destruction de « zadistes », contribue à conserver l’équilibre du site.

Respecter la loi sur l’eau et la biodiversité. Les recours des opposants ont été rejetés par les instances européennes. Le projet prévoit une démarche explicite de compensation des zones humides (mares…), de protection et d’amélioration de la qualité de l’eau, cet engagement sur la qualité constitue une réelle innovation dans ce domaine.

Reconnaissons-le, les manifestants étaient nombreux samedi à Nantes. Une bonne partie d’entre eux est sincère et soutenait des slogans qui séduisent, mais trop réducteurs pour être véritablement objectifs. Les opposants surfent sur des images, des amalgames quand ce n’est pas, pour certains leaders, sur des mensonges ou au moins des omissions.

Les exemples sont nombreux dans ce domaine. Un seul pour faire court : Jean Vincent Placé, sénateur europe écologie les verts, donc a priori élu respectable dont les propos sont évidemment rigoureux et appuyés sur une bonne connaissance du dossier. Quelques extraits de ses propos : « NDDL, zone particulièrement fertile », c’est bien la première fois que les landes sont considérées comme fertiles, cela devrait faire sourire les agriculteurs.

« On a déjà 144 aéroports, pourquoi un 145ème ? », la mauvaise fois est évidente puisque l’amalgame volontaire entre les petits aérodromes et les grands aéroports donnent une image artificielle de surabondance, l’idée « d’un aéroport de plus » est fausse puisqu’il s’agit bien du transfert de l’aéroport actuel. Les ficelles sont un peu grosses mais touchent le public éloigné qui ne connaît pas le dossier.

Alors plus de raison et d’objectivité sont nécessaires pour continuer la réalisation de cet aéroport indispensable pour l’avenir économique du Grand Ouest, zone trop excentrée en Europe.

Dominique BOSCHET

Président de l’ACSAN

Transfert de l’aéroport Nantes Atlantique : nécessité réaffirmée Condamnation des exactions commises contre les entreprises

Communiqué de presse

Nantes, le 27 novembre 2013

Transfert de l’aéroport Nantes Atlantique : nécessité réaffirmée Condamnation des exactions commises contre les entreprises

Les études et analyses complémentaires, souhaitées par la commission de dialogue et menées avec rigueur par les experts des services de l’état, confortent la nécessité du transfert de Nantes Atlantique. Nous notons avec satisfaction que les opposants présents reconnaissent les évolutions technologiques des avions qui permettent d’avoir une approche positive de ce mode de transport et lui donnent un réel avenir. Il leur reste à convaincre les opposants les plus virulents sur Notre Dame des Landes.

Nous dénonçons et condamnons l’occupation illégale de terrains, les destructions matérielles, les pressions et menaces que subissent les entreprises concernées ainsi que les habitants du secteur et bien au-delà.

Nous sommes scandalisés par la mise en cause systématique des services de l’Etat dont il faut saluer la probité et le professionnalisme de ses experts qui participent à des groupes de travail à l’échelon européen.

Comment accepter et comprendre l’attitude des opposants qui, selon leur intérêt, estime que les coûts sont sous évalués pour l’aéroport du grand ouest et surévalués pour l’aménagement de Nantes Atlantique, quand on sait que la méthode et les niveaux d’exigence ont été identiques dans les études menées.

Comment accepter que certains opposants exigent un respect scrupuleux de la loi dans certains cas (déclaration de José Bové et de ses amis sur l’écotaxe) et condamnent cette même légalité pour l‘aéroport du grand Ouest. Les longues procédures démocratiques, les recours rejetés et la saisine des instances européennes confirment le bienfondé de ce transfert.

Les enjeux de ce transfert, attendus par les habitants de l’agglomération nantaise depuis de très nombreuses années, se situent non seulement au niveau de la diminution des nuisances sonores mais également de la lutte contre l’étalement urbain.

Dans une période où la question de l’emploi est essentielle, l’aéroport du Grand Ouest est un formidable outil pour l’avenir de notre agglomération et du Grand Ouest.

Dominique BOSCHET

Président de l’ACSAN

Nécessité du transfert réaffirmée, incohérences des opposants et condamnation des saccages d’entreprises

Communiqué de presse

Nantes, le 27 novembre 2013

Nécessité du transfert réaffirmée, incohérences des opposants et condamnation des saccages d’entreprises

Les études et analyses complémentaires souhaitées par la commission de dialogue et menées avec rigueur, par les experts des services de l’état

Les opposants minimisent les nuisances sonores subies par les habitants de l’agglomération nantaise et en particulier ceux situés dans la zone du plan d’exposition au bruit.

Les opposants campent sur des positions de principe, demandent des études complémentaires pour évaluer les nuisances sonores et l’aménagement de l’aéroport actuel mais refusent de participer au groupe de travail mis en place, à cet effet, par le Préfet. Ces mêmes opposants lancent continuellement des propositions mais ne souhaitent pas en connaître les coûts financiers et humains.

Comment accepter une telle incohérence ?

Les enjeux de ce transfert, attendus par les habitants de l’agglomération depuis de très nombreuses années, se situent non seulement au niveau de la diminution des nuisances sonores mais également de la lutte contre l’étalement urbain, dévoreur d’espace, gourmand en réseaux et en transports, consommateur de temps et émetteur de gaz à effet de serre.

Dans une période où le développement de l’emploi reste une préoccupation prioritaire, l’enjeu économique de ce transfert pour créer l’aéroport du Grand Ouest est une opportunité qu’il ne faut pas retarder.

Les recours successifs et la saisine de la commission européenne ont confirmé le bienfondé de ce projet.

L’aéroport du Grand Ouest est un formidable outil pour l’avenir de notre agglomération et de tout l’Ouest.

Dominique BOSCHET

Président de l’ACSAN