Lorsque nous sommes arrivés à Nantes, il y a bientôt 30 ans, on nous a parlé de l’aéroport, comme d’une chose acquise. Les mois puis les années passant, nous avons posé des questions sur le bien-fondé de ce transfert. Or, chaque fois que des opposants en parlaient, leurs arguments se révélaient être inexacts ou volontairement faux.
Par exemple cette affirmation sur les animaux en péril : une mouche très particulière qui serait en danger ! Mais on ne parle pas des hérons qui se raréfient alors que le lac de Gd Lieu était la plus grande héronnière d’Europe.
Autre exemple : une deuxième piste à Bouguenais : oubliant le survol de Nantes, ces gens ne tiennent aucun compte du survol d’autres écoles, des Nouvelles Cliniques, des fermes et maisons de Pont Saint Martin etc…
J’ai même entendu d’un soi-disant pilote que pour réduire le bruit à l’atterrissage, on pouvait réduire les gazes. Les « vrais » pilotes diront ce qu’ils en pensent.
On n’a jamais répondu à ma question : combien de temps il faudrait pour refaire la piste de Nantes-Atlantique et donc où se ferait le trafic pendant ce temps ?
D’année en année, toutes ces fausses assertions nous ont convaincus, autant que les bonnes raisons, que ce nouvel aéroport était indispensable.
Notre Président de la République, a cru bon de soumettre le choix à référendum, oubliant que la cause a maintes fois été jugée ; passons… Que n’a-t-il limité le vote aux premiers concernés : les habitants de Notre Dame des Landes ! Habitants
Qui supportent tant bien que mal (plutôt mal que bien) les zadistes qui polluent l’environnement et ont créé un état dans l’état.