Mme Verchère se réfugie dans la théorie du complot et le mensonge d’État !

Mme Verchère se réfugie dans la théorie du complot et le mensonge d’Etat !

Mme Verchère, dans ce qui voudrait être un « document-évènement sur Notre Dame des Landes » montre enfin ce qu’elle représente : une fonctionnaire qui met en cause la probité des fonctionnaires, et une ancienne élue qui accuse les élus de manipulation, dénonce les procédures démocratiques dans notre pays et oublie les habitants de l’agglomération et ses anciens administrés qui peuvent continuer à subir les nuisances sonores et environnementales liées au trafic aérien en continuelle expansion.

Mme Verchère se réfugie désormais dans la théorie du complot, dans le mensonge d’État.

Des mensonges,  il y en a beaucoup ?

  • Les prévisions d’évolution du trafic peut-être, niées dans un premier temps par les opposants, alors que les chiffres réels sont bien supérieurs aux estimations qui ont été tant contestées.

  • Les affirmations sur une piste transversale « facilement réalisable », proposition que les opposants ont abandonné devant la réalité des difficultés constatées.

  • Le réaménagement de l’aéroport de Nantes-Atlantique désormais, dont l’étude réalisée par le seul expert reconnu, la DGAC, souligne le manque total de réalisme dans les propositions.

Aucune contestation ne pourra nier les faits : une agglomération en pleine expansion et un aéroport en plein développement enclavé dans cette agglomération. La seule solution de bon sens est le transfert anticipé par les élus.

Dominique BOSCHET,

Président de l’ACSAN

ENCORE des études complémentaires Mme Royal ?

ENCORE des études complémentaires Mme Royal ?

C’est la remarque de la journaliste sur France 5 lors de l’interview.

Cet « ENCORE » est très significatif, puisque cela fait plus de 40 ans que le transfert de l’aéroport de Nantes-Atlantique sur le site de Notre Dame des Landes a été préparé et près de 15 ans que sa réalisation fait l’objet d’études, de procédures de concertation, d’enquêtes publiques, de contestations juridiques et de jugements constants en faveur de la poursuite de sa réalisation.

Est-ce trop long ? Sans doute pas pour ce type de grand projet d’aménagement du territoire pour lequel les enjeux techniques, économiques, sociaux et environnementaux sont complexes.

Dans les Grands Débats publics engagés récemment, notamment en matière ferroviaire, tout le monde sait qu’il faudra une vingtaine d’années pour aboutir ; pour Notre Dame des Landes on est dans cette norme, avec une hypothèse de mise en service 20 ans après le Débat de 2002 !

Voir s’il y avait des projets alternatifs ou complémentaires, comme semble le souhaiter la Ministre n’a plus de sens aujourd’hui. Les alternatives proposées ont été étudiées, analysées et pour partie abandonnées par les opposants eux-mêmes.

Il ne peut s’agir d’un réaménagement de l’aéroport actuel, si du moins la Ministre a lu les études produites par ses propres services qui montrent les coûts d’un tel projet, ses effets en matière de trajectoires et nuisances sonores au-dessus de l’agglomération nantaise, et les enjeux environnementaux associés notamment aux zones Natura 2000 voisines. L’ACSAN et les 80.000 habitants de l’agglomération nantaise qui seraient impactés sauraient rappeler devant les tribunaux que le transfert de cette plate-forme a été déclaré d’utilité publique et qu’on ne peut se moquer impunément de ces habitants.

Il ne peut non plus s’agir d’une piste transversale à Nantes-Atlantique, ce projet que les opposants qualifiaient de « facilement réalisable » a été « oublié » par ces derniers devant les contraintes techniques (piste en travers des vents dominants !), environnementales (enjeux des zones Natura 2000 voisines, …), sociales (nouveaux habitants impactés) ou économiques.

Et comment croire que ce pourrait être le choix d’un autre site tiré d’un chapeau, sur lequel on retrouverait, comme à Notre Dame des Landes, les enjeux d’agriculture, de Loi sur l’Eau, de présence d’espèces protégées, d’accessibilité, …

Un nouveau temps de « dialogue, ou de nouvelles études de projets alternatifs n’y changeront rien, le transfert de Nantes Atlantique est prêt à se réaliser, sauf si l’Etat décidait de rompre tous ses engagements, d’oublier les plus de 150 jugements rendus en faveur de l’opération et de se faire dicter sa loi par un ensemble hétéroclite d’activistes s’opposant à l’Etat de droit.

Dominique BOSCHET,

Président de l’ACSAN

Une décision de justice logique et cohérente

Une décision de justice logique et cohérente

Fondée sur l’occupation anormale de bâtiments et de terres depuis le jugement d’expropriation et le versement des indemnités, la décision rendue ce jour était attendue car en cohérence avec notre Etat de droit. Il faut rappeler que les conditions de départ sont très favorables et que celles-ci ont été acceptées à l’amiable par la grande majorité des personnes concernées.

Contrairement aux affirmations des opposants, les recours, dont la levée conditionnait le début des travaux, sont ceux déposés à la date du 4 mai 2012 et il y a bien longtemps que ceux-ci ont été jugés et rejetés. La stratégie des opposants étant de bloquer toute avancée dans ce dossier, ils continueront indéfiniment à déposer des recours qui, bien évidemment, ne concernent plus les engagements du chef de l’ETAT.

Nous attendons désormais avec impatience le début des travaux, notamment ceux permettant l’accès au site proprement dit de l’aéroport, qui concrétisera encore plus les engagements pris auprès des dizaines de milliers d’habitants de l’agglomération qui subissent les nuisances sonores et environnementales.

Dominique BOSCHET

Président de l’ACSAN

Comment la parole du Président de la République est manipulée par les opposants au transfert de l’aéroport

Comment la parole du Président de la République est manipulée

par les opposants au transfert de l’aéroport

À de nombreuses reprises les opposants font état dans les médias de la parole donnée par le Président de la République. Ils affirment que le Président s’est engagé à ne pas commencer les travaux de l’aéroport tant que tous les recours ne sont pas levés.

De quels recours parle-t-on ? A quelle réalité s’applique ces propos?

En 2012, quelques opposants ont entamé une grève de la faim. Pour des raisons humanitaires, un accord a été trouvé pour que cesse cette grève de la faim. Suite aux déclarations du Président de la République dans les médias, une réunion s’est tenue avec l’ensemble des opposants. Le relevé de décisions à l’issue de cette réunion précisait : « Ils souhaitent qu’il n’y ait pas d’expulsion avant la fin des recours déposés à la date du 4 mai devant le Conseil d’Etat, la Cour de cassation et le conseil constitutionnel.

Cette déclaration concerne les exploitants agricoles et les habitants de la zone de la DUP, installés sur la zone avant la déclaration d’utilité publique, ayant refusé à ce jour les procédures amiables. »

Il y a bien longtemps que ces recours ont été jugés et rejetés. Par souci de légalité, le gouvernement a même attendu bien après le rejet des derniers recours relatifs à la loi sur l’eau et à la protection des espèces protégées.

La stratégie des opposants étant de bloquer toute avancée dans ce dossier, ils continueront indéfiniment à déposer des recours qui, bien évidemment, ne concernent plus les engagements du chef de l’ETAT.

Les opposants se moquent éperdument des nuisances subies par des dizaines de milliers d’habitants de l’agglomération en introduisant sans cesse des procédures dilatoires.

Dominique BOSCHET

Président de l’ACSAN

Le transfert de l’aéroport de Nantes-Atlantique relève d’une logique économique et sociale de qualité

Le transfert de l’aéroport de Nantes-Atlantique relève d’une logique

économique et sociale de qualité

Le transfert de l’aéroport permettra d’accueillir 15.000 habitants dans les zones actuellement bloquées par les nuisances sonores et de développer un projet économique majeur autour de Nantes Atlantique et de l’IRT Jules Verne ; il apportera également de nombreux emplois à la Communauté de Communes Erdre et Gesvres.

Son financement, dans le cadre d’un contrat aux risques et périls du concessionnaire, exclut tout financement d’équilibre d’exploitation et limite les engagements publics à une avance remboursable de 130M€ (équivalent à moins de 5km d’une ligne TGV).

Les opposants au projet trompent honteusement la population en faisant croire à des dépenses supplémentaires qui n’ont aucun ou que peu de lien avec le financement public de l’aéroport.

Ces donneurs de leçons ont une approche étonnamment « originale », très éloignée des principes de l’économie du 21ème siècle, qui explique leur difficulté à comprendre celle de ce projet moderne et maîtrisé.

Pour eux, tout est bon pour bloquer la modernisation et le développement du grand ouest.

Il est temps qu’ils acceptent le verdict d’années de débats, d’études et de procédures, et arrêtent de faire peser sur ce territoire et ses habitants la menace explicite de troubles à l’ordre public comme seule solution ultime à leurs tentatives successives pour faire reculer les porteurs de ce transfert.

Dominique BOSCHET

Président de l’ACSAN

Économie maîtrisée

Pourquoi la réalisation de l’aéroport du Grand Ouest est nécessaire et indispensable ?

Pour les habitants de lagglomération nantaise, le lancement des travaux de réalisation de laéroport du Grand Ouest à Notre Dame des Landes en vue dune mise en service à lhorizon 2020 présente une urgence et une cohérence incontournables

Le transfert de l’aéroport de Nantes relève d’une logique économique et sociale, de qualité.

  • Le transfert de l’aéroport permettra d’accueillir 15000 habitants de plus dans des zones urbaines à l’intérieur du périphérique nantais, à proximité des équipements métropolitains, des emplois et des services de l’agglomération, dans les logiques développées dans le cadre de l’Agenda 21, du Plan Climat territorial, du Programme Local de l’Habitat et du Plan de Déplacements Urbains de la métropole.

  • Le transfert de l’aéroport permettra de rééquilibrer et développer les emplois dans la métropole,

. Avec le transfert des 2000 emplois de la nouvelle plate-forme sur le territoire de la Communauté de Communes d’Erdre et Gesvres, très déficitaire en la matière,

. Avec la capacité, en bénéficiant des espaces libérés par l’ancien aéroport, à développer autour des usines Airbus et de l’IRT Jules Verne un campus économique accueillant 5000 nouveaux emplois dont 1000 chercheurs, assurant ainsi une mutation qualitative de l’emploi pour le sud de l’agglomération nantaise.

  • Le transfert de l’aéroport est une opération dont le financement public est limité et maîtrisé :

. Le contrat signé entre l’Etat et Vinci Airports est celui d’une concession aux risques et périls du concessionnaire, ce qui exclut tout futur financement public pour l’équilibre de l’exploitation de la plate-forme, hors le concours initial mesuré et forfaitisé.

. La subvention publique de 130M€ apportée par l’Etat (55M€) et les Collectivités (75M€) au bénéfice des investissements du concessionnaire est non révisable et calculée sur la base d’un plan d’affaires incluant les perspectives de dépenses et recettes sur les 55 ans de la concession.

. Le plan d’affaire ayant été établi sur des bases prudentes notamment en matière de recettes d’exploitation, du fait des risques et périls du concessionnaire, une clause de «  retour à meilleure fortune  » a été intégrée qui prévoit chaque année le reversement progressif des subventions publiques si les excédents d’exploitation s’avèrent supérieurs à ceux prévus dans le plan d’affaire  ; la part de ces excédents qui sera reversée aux financeurs publics est de 40% dès la 6ème année de la concession, 50% à partir de la 11ème et 60% à compter de la 16ème année.

  • Le transfert de l’aéroport s’accompagnera d’opérations «  associées  » n’entrant que pour partie dans l’économie globale du dossier et relevant d’abord du développement interrégional.

. La desserte routière de l’aéroport sera assurée par une voie nouvelle de 11km reliant la RN137 à la RN 165  ; le financement de cette opération d’un coût de 81M€, réalisée sous maîtrise d’ouvrage de l’Etat, fera l’objet d’un fonds de concours (50%) des Collectivités locales partenaires.

. Contrairement aux assertions des opposants au transfert de l’aéroport, celui-ci réduit les flux de traversée de la Loire et n’implique donc pas la création obligatoire d’un nouveau pont.

. La desserte en transports collectifs de la plate-forme est prévue

> Dès l’ouverture par navettes d’autocars, dans une économie équilibrée.

> Rapidement par création d’une liaison ferroviaire en tram-train raccordée à la ligne Nantes-Châteaubriant et desservant la CCEG (Treillières-Grandchamp)  ; moins de 30% des coûts d’investissement de cette opération concernent la desserte de l’aéroport, et son exploitation devrait être équilibrée du fait de la tarification de l’accès à l’aéroport.

> A long terme, dans le cadre du projet de Liaisons Nouvelles Ouest Bretagne-Pays de la Loire, dont le débat public vient de s’achever, par la création d’une ligne nouvelle Nantes – Rennes/Bretagne-sud qui desservirait l’aéroport  ; le trafic lié à l’aéroport en améliore l’économie générale d’exploitation.

 

Le transfert de Nantes Atlantique vers NDDL s’inscrit dans un projet de développement durable, cohérent avec la COP 21 !

Le transfert de Nantes Atlantique vers NDDL s’inscrit dans un projet de développement durable, cohérent avec la COP 21 !

Le Grand Ouest a besoin d’un aéroport performant pour ses connexions avec l’Europe.

Le projet développé en commun avec les deux Régions Bretagne et Pays de la Loire et les deux métropoles de Nantes et Rennes est exemplaire en matière de développement durable, tant en maîtrise de la consommation d’espaces, de protection de l’agriculture, de bilan carbone ou de prise en compte des enjeux environnementaux.

Bâtiments HQE, roulage et temps d’attente des avions diminués grâce au positionnement des 2 pistes, mais aussi urbanisation à nouveau possible au sein de l’agglomération en raison du transfert, ce qui diminuera d’autant les migrations journalières périurbaines qui participent lourdement à la consommation d’énergies fossiles et à l’émission de gaz à effet de serre, ne sont que quelques exemples des effets bénéfiques de cette opération.

Les habitants de Nantes attendent ce transfert depuis des années, et n’acceptent pas les propos des opposants donneurs de leçons. Ce sont les mêmes et avec autant de conviction qui ont prôné le déni du développement aérien puis proposé une piste transversale « facilement réalisable ». Ils continuent désormais sur l’aménagement de l’aéroport actuel malgré le rejet de l’ensemble des contentieux qu’ils ont déposés. Ils leurrent la population et cautionnent dangereusement les zadistes et la zone de non droit qu’ils occupent illégalement.

Il est temps que cesse cette obstruction stérile et que les énergies soient consacrées à bonifier le volet environnemental du chantier de transfert de l’aéroport au sein des instances de suivi.

Dominique BOSCHET

Président de l’ACSAN

OUI, le transfert de Nantes Atlantique est incontournable !

OUI, le transfert de Nantes Atlantique est incontournable !

Les opposants au transfert de l’aéroport sur le site de Notre Dame des Landes s’ingénient à imaginer plein de bonnes raisons pour faire croire à la possibilité d’un maintien de l’activité aéroportuaire à Nantes-Atlantique.

C’est tout simplement impossible et ceux qui soutiennent cette assertion mentent en toute connaissance de cause aux habitants de l’agglomération nantaise.

L’évolution inéluctable des trafics, 4,4M de passagers aujourd’hui et 6 M à l’horizon 2030, s’accompagnera automatiquement d’une augmentation des mouvements d’avions (49250 aujourd’hui, 68000 à l’horizon 2030)

Elle s’accompagnera tout aussi inéluctablement d’une augmentation des nuisances sonores à l’atterrissage, qui dépendent des bruits aérodynamiques et ne bénéficient que peu des améliorations des bruits moteurs.

La révision de la réglementation relative à la protection contre les nuisances sonores nécessiterait un classement en zone interdite pour l’habitat du bourg de Saint-Aignan de Grand Lieu et en zone impropre pour l’habitat collectif des bords de Loire à Rezé, d’une partie du centre de Nantes jusqu’au cours des 50 otages.

Les habitants de ces secteurs de l’agglomération ne supportent plus l’impudence des opposants au transfert de l’aéroport qui font si peu de cas des conditions de vie de leurs concitoyens.

Oui au transfert dans les meilleurs délais, et non à toute extension des zones de bruit de l’aéroport actuel

Dominique BOSCHET

Président de l’ACSAN

Consensus pour l’aéroport : le DIALOGUE ?

Consensus pour l’aéroport : le DIALOGUE ?

Madame Royale, après avoir expliqué que le grand ouest et ses 8 millions d’habitants (plus que l’Irlande ou le Danemark) pourrait bien se contenter d’utiliser les aéroports parisiens pour garantir son accès à l’Europe, comme aux plus belles heures de la centralisation, prône maintenant le dialogue pour sortir de l’impasse apparente du dossier de transfert de l’aéroport de Nantes.

Comment être contre cette volonté d’échange entre personnes dignes de raison !

Mais de quel dialogue s’agit-il ?

Apparemment pas du débat public organisé en 2003 sur les principes du projet, durant lequel tous les sceptiques ou opposants de principe ont pu exprimer leurs doutes,

Ni de l’enquête publique de 2006 menée par une commission indépendante pendant plus de 4 mois, qui a recueilli toutes les contributions souhaitées et tenue des dizaines d’entretiens et de réunions publiques, et s’est conclue par la déclaration d’utilité publique en 2008.

Non, cela « c’était pour la mise en jambes » classique.

Ce n’est pas non plus lors de la commission de dialogue voulue par le nouveau gouvernement de 2012 dans laquelle les associations opposées à ce transfert ont toutes été auditionnées ; « C’était uniquement pour la forme ! ».

Il ne s’agit pas non plus du groupe technique présidé par le Préfet de Région en 2013, réunissant les diverses composantes favorables ou non, qui a examiné les propositions d’aménagement de l’aéroport actuel faites par les opposants et entendu l’analyse réalisée par le seul expert compétent dans ce domaine, la DGAC. Non, cela « c’était pour faire semblant ! »

13 ans de débats, de concertation, d’études, de participation, d’améliorations « pour avoir besoin de créer un nouveau dialogue ? »

L’expression d’une Ministre est insupportable lorsqu’elle contribue à donner corps aux mises en cause intolérables des opposants au transfert sur la compétence et la déontologie des services de son propre ministère et laisse penser que les assertions gratuites d’un « atelier citoyen » techniquement incompétent et uniquement créé pour produire des contre-vérités flagrantes, pourraient avoir la moindre valeur.

Procédures dilatoires, intimidations, voies de fait…, ne font que retarder la délivrance de plus de 40.000 habitants de l’agglomération nantaise, des nuisances et des risques qui sont le corollaire à l’existence de l’aéroport de Nantes-Atlantique.

Le dossier avance, plus de 150 recours juridiques rejetés, les derniers occupants, largement indemnisés, seront expulsables dans quelques jours !

Les habitants de l’agglomération nantaise font confiance au Gouvernement pour que l’engagement de l’État soit respecté et que la liberté des entreprises chargées des travaux soit assurée. »

Dominique BOSCHET

Président de l’ACSAN